En ce moment, les cordes sont à l'honneur. Pour preuve : il en pleut sur les trois quarts de la France ! Il y a eu quelques cordes au cou également, dans mon entourage, dernièrement... Mais celles que je préfère, ce sont celles qui vibrent. Et qui nous font vibrer, par ricochet.
Comme on peut le constater, l'abbaye est à l'état de ruines. Une scène à ciel ouvert qui donne un éclat particulier au son, un rien magique. Elle accueille tout au long de l'été des concerts divers, dont vous pouvez consulter le programme ici. Aujourd'hui, c'est Nolwenn Arzel qui s'y produit.
Danseuse bretonne et harpiste, la jeune femme nous embarque dans la découverte de son instrument et de son histoire : la harpe celtique. Avec des danses et chants traditionnels retranscrits pour la harpe, ainsi que ses propres compositions, elle nous fait voyager à travers les différents pays celtes (Irlande, Bretagne, etc...).
Très pédagogue, on sent la force de sa passion, et la volonté de la transmettre. Elle enseigne d'ailleurs son instrument dans plusieurs écoles.
Quant au son de la harpe elle-même, je vous invite à le découvrir en concert, a fortiori dans des lieux de ce genre. A la fois cristalin et puissant, léger et présent, il possède une capacité d'envoûtement assez impressionnante.
Retrouvez ici le MySpace de Nolwenn Arzel
J'aime beaucoup la harpe, c'est majestueux je trouve!
RépondreSupprimerEntièrement d'accord avec toi !
RépondreSupprimerJe pense que ça tient au son, mais aussi à la forme de l'instrument (c'est très beau à regarder, une harpe!).